Marc-Yvan Coulombe / BabillArt Montréal
Après plusieurs années d’apprentissage, les finissants de l’École nationale de cirque présentent le fruit de leur parcours avec leur spectacle intitulé L’antre d’eux, à la TOHU, jusqu’au 8 juin.
Ils sont 22 et ils s’expriment à travers plus d’une douzaine de disciplines dont la roue allemande, la corde volante, les cerceaux aériens, le diabolo, la planche coréenne, la suspension capillaire, le fil de fer, le mât chinois, la roue Cyr, etc.
Le concepteur acrobatique et metteur en scène, Nicolas Boivin-Gravel, a remarquablement réussi à habiter l’immense espace cylindrique de la TOHU. D’ailleurs pour apprécier l’envergure de ce spectacle, il est préférable de choisir des sièges qui ne sont pas trop près de la scène située en plein centre de la salle circulaire.
La musique occupe une place importante dans L’antre d’eux. Il y a même un artiste circassien qui joue de la cornemuse et, bien sûr, tous chantent et dansent.
Au-delà de l’exercice pédagogique, quel est le sens du titre du spectacle L’antre d’eux?
À lire: «L’antre d’eux»: l’envol des finissants de l’École nationale de cirque
Crédit photo: Caroline Thibault
Laisser un commentaire