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Le Requiem de Mozart porté par 150 voix et l’Orchestre classique de Montréal  par Marc-Yvan Coulombe  7 mai 2024 Concert mémorable des Petits Chanteurs du Mont-Royal qui ont fait salle comble, dimanche (5 mai), en interprétant le Requiem de Mozart, avec l’Orchestre classique de Montréal. Loin de la réverbération caractéristique de l’oratoire Saint-Joseph, on a pu apprécier la sonorité si particulière des voix de ces choristes, âgés entre 10 et 17 ans. La qualité de leur formation et
Une Ontarienne qui donne un spectacle presqu’entièrement en français aux Francos de Montréal, on ne voit pas ça tous les jours! C’est sans doute l’une des raisons pour lesquelles Jill Barber, qui vient de lancer un deuxième album dans la langue de Molière, a été accueillie si chaleureusement, ce soir (16 juin), au Studio TD. Accompagnée d’un trio (piano, guitare, basse), l’interprète donne des couleurs jazz à des classiques de Trenet, Piaf, Barbara et quelques

«Requiem» de Dompierre: la mort dédramatisée

Posted by admin on  juin 14, 2024
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Category: Compte-rendu
 par Marc-Yvan Coulombe  10 juin 2024 en Compte-rendu Temps de lecture: 4 mins lecture  0 0 La Maison symphonique était remplie, hier soir, pour la création du Requiem de François Dompierre, interprété par l’Orchestre Philharmonique et Chœur des Mélomanes, sous la direction de Francis Choinière. Le compositeur âgé de 80 ans est monté sur scène pour expliquer qu’il conçoit son requiem un peu comme une trame cinématographique où il exprime les sentiments humains, allant du deuil et la peur,
p par Marc-Yvan Coulombe  28 avril 2024 en Concerts Temps de lecture: 3 mins lecture  0 0 Partage Partager sur FacebookPartager sur Twiterr C’est parti pour la 29e édition du Festival de musique de chambre de Montréal. Du 13 au 23 juin, une série de concerts présentés à la salle Bourgie réunira des artistes d’ici et d’ailleurs qui feront revivre des oeuvres allant de Beethoven à Gershwin, en passant par des pages de musique klezmer. On y découvrira,
Le Musée des beaux-arts de Montréal présente, cet été, l’exposition Vice, vertu, désir, folie : trois siècles de chefs-d’œuvre flamands. On demeure bouche bée devant la beauté de tableaux de Pierre Paul Rubens, Anthony van Dyck, Jacob Jordaens, Hans Memling, etc. À travers la collection de La Fondation Phoebusd’Anvers (Belgique), les visiteurs sont transportés dans le sud des Pays-Bas,à une époque d’essor social, scientifique, économique et artistique (1400-1700). JACOB JORDAENS (1593-1678), LA SÉRÉNADE, VERS 1640.©

«Le Prénom»: Denoncourt est de retour avec une nouvelle distribution

Marc-Yvan Coulombe par Marc-Yvan Coulombe

 12 juin 2024

en Nouvelles

Temps de lecture: 3 mins lecture

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«Le Prénom»: Denoncourt est de retour avec une nouvelle distribution

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La comédie Le Prénom, mise en scène par Serge Denoncourt, est de retour chez nous cet été, après avoir fait fureur au Québec, en 2012. On a réuni une nouvelle équipe d’acteurs pour incarner les convives de ce souper explosif, où l’on dévoilera le prénom controversé d’un bébé à naître. Karine Gonthier-Hyndman, Mikhail Ahooja, Noémie O’Farrell, François-Xavier Dufour et Benoît Drouin-Germain ont d’ailleurs présenté aux journalistes un aperçu très prometteur de cette pièce qui sera jouée à compter du 4 juillet, au Théâtre Desjardins de l’arrondissement LaSalle, à Montréal.

Un «chef-d’oeuvre dans le genre»

Serge Denoncourt, metteur en scène
Crédit photo : Marc-Yvan Coulombe

Le prolifique Serge Denoncourt qui a signé plus d’une centaine de mises en scène en carrière, incluant des textes de Molière et Feydeau, déclare d’entrée de jeu : «Le Prénom est la pièce la plus drôle au monde!».

Grâce au sens du punch des auteurs français Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière, personne ne résiste à cette comédie culte, ajoute l’homme de théâtre québécois.

Quand on a monté ce spectacle avec Christian Bégin, Isabelle Vincent, Patrice Robitaille, Gabriel Sabourin et Catherine-Anne Toupin, il y a 12 ans, «ça durait une heure et demie, en salle de répétition. Mais, dès la première représentation, avec les réactions enthousiastes du public, on s’est rendu compte que ça durait plutôt deux heures! Il y avait donc une bonne demi-heure de rires, à chaque soir! Autant de rires, ça ne ment pas!»

Le metteur en scène ajoute: «C’est très, très bien écrit! D’ailleurs, on m’a offert d’autres spectacles dans cette veine mais, j’ai toujours dit non car je trouve que Le Prénom, c’est le chef-d’oeuvre dans le genre!»

Il est vrai que les auteurs français ont su dépeindre de façon désopilante ces prises de bec familiales, où l’on se dit sans ménagement ce qu’on a sur le cœur depuis longtemps!

Ce déferlement de préjugés enracinés dans la mauvaise foi nous fait rire «parce que ça pourrait se produire dans bien des familles!. D’ailleurs, des situations comme ça, il en arrive dans ma famille», confie monsieur Denoncourt, le sourire aux lèvres.

Le sens du «timing»

Faut-il s’attendre à des changements dans cette nouvelle mouture? «La mise en scène demeure la même. En fait, Le Prénom, ça se joue surtout au niveau de la direction d’acteurs. Il faut qu’ils aient le sens du «timing»! Qu’ils sachent quand foncer, quand s’arrêter!»

À trois semaines de la première, nous avons d’ailleurs eu une démonstration convaincante de ce savoir-faire, dans une salle de répétition, alors que les cinq comédiens ont joué la scène où on tente de deviner le prénom. Déjà, avec leurs mimiques et leur ton, les personnages annoncent leurs couleurs! Hilarant!

Cela dit, certains changements mineurs ont été apportés à l’adaptation de Maryse Warda, en ce qui concerne, entre autres, les noms des vedettes du petit écran mentionnées par les protagonistes, ainsi que les noms de restos à la mode, etc.

Rappelons que Le Prénom a été adapté au cinéma avec, entre autres, les acteurs Patrick Bruel et Charles Berling.

Quant à la pièce Le Prénom, elle a attiré quelque 250 000 spectateurs, en France.

Chez nous, plus de 70 000 personnes ont vu la mise en scène de Serge Denoncourt, il y a une douzaine d’années. Le spectacle sera maintenant présenté avec une nouvelle distribution sur quatre scènes de la Belle Province, au cours des prochains mois.

Le Prénom

Mise en scène : Serge Denoncourt
Une pièce de : Matthieu Delaporte et Alexandre De La Patellière
Direction artistique : Pierre Bernard
Adaptation : Maryse Warda

Avec : Karine Gonthier-Hyndman, Mikhail Ahooja, Noémie O’Farrell, François-Xavier Dufour et Benoît Drouin-Germain

À Montréal : Théâtre Desjardins – LaSalle, du 4 au 13 juillet / Billets

À Gatineau : Salle Odyssée, du 19 au 27 juillet / Billets

À Saint-Hyacinthe : Centre des arts Juliette-Lassonde, du 1er au 17 août / Billets

À Sainte-Foy : Salle Albert-Rousseau, du 12 au 15 septembre / Billets